à la galerie

 

Les rayures, j’en avais déjà vu bien sûr, et ailleurs que sur des pyjamas. Je savais que ça existait. Que d’autres types en avaient peint et que ce n’était pas vraiment original. Mais c’est arrivé sans que j’y prenne garde. C’est arrivé parce que j’en avais marre de voir remonter à la surface de mes tableaux des espèces de fantômes. C’est arrivé parce que je rêvais plus de musique que de forme. Un jour, j’ai posé la couleur et ça s’est mis à chanter.